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#05- Là où il y a de la gemme...
#05- LÀ OÙ IL Y A DE LA GEMME...
Scénariste(s) : Nicolas MITRIC
Dessinateur(s) : Stéphane Louis dit LOUIS
Éditions : Soleil
Collection : X
Série : Tessa, agent intergalactique
Année : 2009     Nb. pages : 48
Style(s) narratif(s) : Récits à suivre (#5 à 7 / 7) (Inspiration comics)
Genre(s) : S.F. humoristique, Superhéros / Justicier masqué, Thriller, Héros animalier
Appréciation : 3.5 / 6
Tessa, c'est toute une saga!
Écrit le dimanche 10 juin 2018 par PG Luneau

Tomes lus : #05- Là où il y a de la gemme... (S.F. humoristique, Superhéros / Justicier masqué, Héros animalier)

            #06- Aurore Montréal (2012, S.F. humoristique, Superhéros / Justicier masqué, Héros animalier 5/6)

            #07- les Visions de l'Av-eugg (2015, 52 p., 5/6)

 

Ceux qui ont lu ma critique des 4 premiers tomes de cette série se souviendront peut-être que le quatrième tome se terminait sur un climax intolérable, la belle Tessa ayant été aspirée par sa gemme!

Eh bien voilà que le tome #5 nous raconte les étranges déboires qu'elle vivra sur les divers petits astéroïdes de cet univers parallèle des plus bizarres, où la gravité a ses lois propres, à mille lieues de celles qu'on lui connaît! Tessa y croisera des tonnes de créatures, dont certaines qui deviendront ses alliées... Elle y retrouvera aussi Nitaar, une agente intergalactique réputée (dont elle avait appris l'histoire dans le premier tome de la série dérivée 42 agents intergalactiques), ainsi que les survivants du peuple de Swidz, qui s'y trouvent tenus en esclavage depuis des lustres. C'est qu'une sombre entité monstrueusement puissante s'applique à tout pervertir, dans ce monde parallèle! Et le pouvoir qu'elle y accumule peu à peu n'a qu'un but : conquérir notre propre univers, une fois qu'elle se sentira omnipuissante! Pour sauver notre plan astral et tout ce qu'il contient, Tessa devra faire confiance à certains ennemis d'autrefois, eux-aussi emprisonnés dans ce monde étrange...

Le tome #6 ramène Tessa dans son petit quotidien. Elle y retrouve sa famille et ses amis... et on y apprend qu'elle vit à Québec!!! :^O Afin de peaufiner un travail scolaire, elle se rend à Montréal, avec ses copains, pour assister à un festival de la BD!!! Voilà une belle occasion, pour les auteurs, de parodier leur petit milieu avec humour! ;^) Mais Tessa, pour sa part, voudra surtout enquêter sur la mystérieuse apparition, en plein cœur de l'île Notre-Dame, d'un agroglyphe représentant le logo des agents intergalactiques!?? De fil en aiguille, notre jeune agente découvrira que certains de ses proches n'étaient pas ce qu'ils prétendaient être, et sous ses airs tranquillos, ce tome se conclut avec une série d'événements coups de poing ... puis nous laisse en plan!!?? :^O

En 2012, après la parution d'Aurore Montréal, les lecteurs assidus avaient dû attendre 3 ans avant d'avoir accès à la conclusion, dans le tome #7, qui s'en veut la suite directe! :^0 Heureusement, j'avais déjà les deux en ma possession : je n'aurais jamais pu attendre tout ce temps ;^)! Et quel fabuleux maelström final, mes amis!! C'est tout juste si on ne retrouve pas tous les personnages secondaires des 6 premiers tomes dans cet ultime affrontement, où révélations, trahisons, combats titanesques et revirements inattendus se succèdent à un rythme effréné! Quelle apothéose!

Non, vraiment, Tessa, agent intergalactique est une série vraiment bien ficelée, qui vaut son pesant d'or. La qualité des intrigues reste assez soutenu (seul le 5e tome m'a paru moins intéressant, avec son univers bizarroïde), et les auteurs ont eu l'intelligence de tisser des liens entre les intrigues, liens qui n'apparaissent que dans ces tomes finaux! Bref, Mitric nous emberlificote joyeusement à notre insu tout au long des premiers tomes, pour mieux tirer sur ces ficelles et nous scotcher sur place, sur la fin! En fait, la lecture de cette finale nous donne surtout le goût de relire la série en entier (et les deux séries dérivées : 42 agents intergalactiques et Ultime étoile) afin de revoir le tout en toute connaissance de cause!!

Pour ce qui est des dessins, ils demeurent plus que satisfaisants tout du long. Si on ajoute à ça le savant mélange de suspense, d'action, d'humour et de réflexion, on se retrouve avec une belle petite série de space opera grand public, agréable et abordable... si on fait abstraction des quelques complexités scénaristiques dont je parle plus bas et des nombreux renvois aux séries dérivées (qu'on est mieux de lire à peu près en même temps si on veut apprécier pleinement toute l'ampleur de l'intrigue-pivot)! Je la recommande néanmoins chaleureusement, à partir de 13 ou 14 ans, surtout si vous pouvez vous permettre de la lire en rafale.

 

Ce qui m'a le plus agacé :

 

  • le manque de fluidité de certains combats, de certaines poursuites... Dès la p.7 du tome #5, par exemple, je ne comprends à peu près rien à ce qui se passe!? Idem pour le gros combat galactique final de ce tome, aux p.38 et suivantes: pas évident de s'en faire une représentation mentale satisfaisante. Pour ce qui est des p.37 et 38 du tome suivant, j'ai dû les lire à la loupe 4 ou 5 fois avant de commencer à peut-être comprendre ce qui pouvait s'y passer... Serait-ce que le gros Piyou (qui visait le Totoro, avais-je cru de prime abord!) se met dans cet état simplement pour avoir un perchoir?? Ça me semble pas mal trop soudain et inexpliqué pour être crédible!?:^S

 

  • le monde chaotique présenté dans le tome #5. Son manque de cohérence n'a pas plu à mon côté cartésien, je l'ai trouvé moins intéressant et, surtout, très loin du quotidien de Tessa (sa famille, ses amis...), que j'apprécie tant!

 

  • les trop nombreuses références à la série 42 agents intergalactiques. C'est chouette que des séries-mères et des séries dérivées soient interconnectées, mais quand c'est rendu que l'on ne peut plus comprendre l'intrigue de l'une parce qu'on n'a pas lu l'autre, c'est pousser un peu trop loin l'interdépendance!:^( Ainsi, toute la participation de Nitaar, dans les trois tomes, est directement liée à la série 42 A.I., et comme je ne l'ai pas lue, j'ai l'impression qu'il me manque certains gros morceaux du puzzle. Au moins, n'aurait-il pas été mieux de mettre une note, en début du tome #5, spécifiant que la lecture de tel ou tels tome(s) de cette autre série était préférable avant de poursuivre? Ça aurait évité les trop nombreuses notes de bas de page nous précisant d'aller s'y référer!?

 

  • la surabondance d'hyperboles! Tout est toujours calculé en centaines ou en milliards de millions d'années!! C'est inutilement trop exagéré... À mon sens, un demi-million d'années, ça me semble déjà bien assez vieux, même pour un dieu!:^S

 

  • quelques coquilles. «Mais crois-moi je bien suis plus la même...» (tome #5, p.24, 6e vignette), «...il te suffit d'une d'une pensée...» (id., p.25, dernière case) et «...caché dans un de vos ministres votre cabinet?» (tome #7, p.43, 4e vignette). Et des erreurs de notes de bas de page: dans le tome #6, une astérisque sans explication (p.35)... et l'inverse dans le tome #7: une explication sans astérisque (p.29) !?!? Plus compliqué encore: dans le dernier tome, à la p.38, on nous dit d'aller confirmer quelque chose à la p.46 du tome #5... Mais il n'y a rien, à cette page, en lien avec l'événement en question!?!? On voulait probablement parler des p.44 et 45 du dit tome #5?! Mais à quoi carburent les correcteurs de chez Soleil??

 

  • quelques dessins moins bien réussis. L'enfer d'Hadès, qu'on nous montre à la p.26 du tome final, est impressionnant, mais sa perspective est tout ce qu'il y a de plus bancale! Et heureusement qu'on nous précise, dans le tome 6, que la blonde chasseresse se veut un avatar de la belle Atalante de Crisse car, personnellement, je n'aurais pas fait le lien... sans vouloir froisser M. Louis, le dessinateur!:^S À ce propos, j'en profiterais pour souligner le petit côté inutilement olé olé des costumes de ces dames, qui nous exposent bien inutilement leur trouffion, dans le simple but d'exciter les jeunes lecteurs en rut...:^P

 

  • certaines étrangetés dans la représentation du Québec! D'abord, je trouve singulier que Tessa aille au Stillborn hight school, elle qui habite tout près de la ville de Québec... C'est qu'elle serait anglophone?? Qui l'eût cru!!? Puis, que les panneaux routiers et l'autobus scolaire soient uniquement en anglais, là, ça sonne faux... On se croirait plus en Nouvelle-Angleterre qu'au Québec! Surprenant, aussi, le trajet qu'emprunte le père de Tessa pour se rendre de Québec à Montréal: il prend l'autoroute 40... et arrive par le pont Jacques-Cartier?! C'est assez peu commun, à moins de faire le transfert à Trois-Rivières, ce qui me semble peu fréquent... mais je picosse, là, je picosse... ;^)

 

  • plusieurs référents qui me faisaient défaut, surtout dans le tome #6. Ainsi, le rugby n'étant pas très populaire chez-nous, Chabal (p.34) nous est pratiquement inconnu. Idem pour les frères Bogdanov (p.29... et si je me fie à ce que j'en ai lu sur le Net, on ne manque pas grand-chose!! ;^) De même, j'aurais aimé reconnaître plus de dessinateurs parmi ceux qui participent au Festival de BD de Montréal. Je suis sûr que Louis y est allé de plusieurs clins d'œil! J'en ai reconnu quelques-uns, mais combien en ai-je manqué??! En plus, j'ai la ferme impression que le gars qui va chercher Céline (p.26, en bas) et celui qui la présente (p.27, en haut) sont des personnalités connues... mais malheureusement pas de moi!:^(

 

  • quelques nébulosités scénaristiques. La principale faiblesse, c'est la ridicule passion qu'éprouve Cassiopée pour les Pétéyiis, dans le tome #6! Ce quasi-coup de foudre pour des gros poussins géants est grotesque et non-fondé, il m'a fait décrocher assez sérieusement! Mais dans le tome #7, plusieurs petites questions m'ont chicoté: Pourquoi le consul télépathe, qui force Grhamm à rendre sa gemme, aide-t-il Tessa, quelques pages plus loin, à faciliter son évasion? Ça m'a semblé un peu alambiqué... mais il se peut fort bien que certains détails importants m'aient fait faux bond! ;^) Et le passage de Grhamm en Enfer, à quoi a-t-il servi, sur le plan scénaristique?? Seulement à entraîner les dieux de l'Olympe au Conseil, pour qu'ils prennent part à la bataille finale? Un peu inutile, non? Un dernier détail: à la p.25 du dernier tome, on nous apprend que Tessa, Nitaar, Djébril et le consul Heudiz font tous partie de l'espèce des Erdokas!?!? Qu'est-ce que c'est que cette espèce qui inclut les Humains, des extraterrestres humanoïdes à cornes et une autre race d'E.T., plus reptilienne, arborant 4 yeux et des mains à deux doigts garnis de tentacules?? J'aurais aimé des explications physiologiques ou une nomenclature plus détaillée de la classification des espèces intergalactiques!! ;^S

 

Plus grandes forces de cette BD :

 

  • le résumé du début du tome #5. S'il est assez succinct (après tout, comment résumer 4 tomes d'aventure en une seule planche!!?), il a au moins le mérite d'être sous forme de vignettes... et il est d'autant plus important que ce tome #5 est la suite directe du 4, alors que Tessa était accidentellement «aspirée» par sa gemme!

 

  • la préface du tome #7. Il s'agit d'un autre coup de cœur! On peut y lire le touchant message de Tessa... Mitric, la vraie fille du scénariste! Non seulement elle se prénomme réellement Tessa, mais elle a aussi 16 ans, tout comme l'héroïne de la série! Ce gentil billet est illustré d'un super dessin de Louis où il réunit, pour l'occasion, la quasi-totalité des personnages principaux et secondaires de la série, en un beau portrait de famille! ;^)

 

  • les tonnes de caméos, connus ou non, qui pullulent tout au long de tous les albums, tantôt dans les dessins, tantôt dans les textes! Allez-y! Profitez de cette liste pour vous faire un gros «Où est Charlie?»!! Pourrez-vous retrouver ces personnages? Goldorak, Iron Man, la Torche humaine, Spiderman, Supergirl, Thor, Galactus, les Télétubbies, Candi (et son pays!), Caliméro, Droopy le chien, le Chat potté, Don Quichotte et Sancho Panza, Wall-E, Son Goku, Alien, les Lapins crétins, Casimir, Elvis, Spirou, R2-D2, l'Étoile de la mort, les Storm Troopers et Yoda... Ouf!! Mais il y a aussi de vraies personnalités qui s'y sont glissées, comme Spielberg ou notre Céline nationale, sur son Titanic! Il y a aussi plusieurs bédéistes, comme Trondheim, Crisse, Keramidas et Boudjellal... et même Mitric, Louis et Sébastien, le coloriste!! Pfiou! Le tout sans compter tous ceux que je n'ai pas reconnus parce que je ne les connaissais pas, comme les frères Bogdanov (voir plus haut) ou le DNARIMAL, que j'ai mis quelque temps à identifier comme étant... Sébastien Lamirand, le coloriste que je viens de vous mentionner! ;^)

 

  • l'humour, toujours très présent dans toute la série. J'ai adoré, par exemple, voir les Pétéyiis jouer à Angry birds (tome #6, p.40) ou Céline Dion en prendre plein la gueule (id., p.26)!! Puis, bien sûr, il y a encore les incroyables jeux de mots, principalement intégrés dans les noms des personnages, à la Goscinny!! Outre Sandizuit, les consuls Heudiz et Taah-çion et l'atome de Saah-Voa, j'ai littéralement fondu lorsque Tessa a retrouvé les confrères laminoxiens de Swidz et qu'ils se sont mis à se nommer (tome #3, p.24): de l'Opinel à la hallebarde, tout ce qui coupe s'y trouve joyeusement recensé! Hilarant! ;^D

 

  • de beaux et bons personnages secondaires. D'abord, précisons que certains d'entre eux (dont je tairai l'identité ici! ;^) se révèlent: on découvre qu'ils jouent un rôle plus important qu'il n'y paraissait!!:^0 Mais, de manière générale, j'aime beaucoup l'originalité des looks que Louis a attribué à chacun de ses personnages, tant les humains (j'adore les tronches variées et typées des membres du personnel de l'école, par exemple!) que les extraterrestres (comme la super-chenille - tome #5, p.19 - ou l'impressionnante monstruosité qu'est Mordarkeur - #5, p.37)!

 

  • un certain vocabulaire... possiblement du domaine plus familier, mais qui ne l'est pas pour moi!! ;^) Ainsi, j'ai découvert ce qu'est un tonfa et le sens d'expressions comme «mettre un vent» ou «ça va charcler»!! ;^)

 

  • la richesse du scénario. Comme je le disais plus haut, c'est en lisant ces trois derniers tomes qu'on réalise à quel point cette série se tient très solidement: Mitric savait où il allait, et il avait semé les graines de ce qu'il allait avoir besoin plus tard tout au long des premiers tomes (et aussi - peut-être un peu trop souvent - dans ceux de la série dérivée 42 agents intergalactiques). Le mystère entourant l'identité du Sideral killer et des autres A-Zha, la conclusion des tomes 5 et 6 (qui laissent pantois!! :^0), les secrets du directeur de l'école de Tessa et celui du bel Esteban ou l'intriguant flash forward qui ouvre le tome final, voilà des intrigues et des revirements emballants! De plus, à la fin, le retour de presque tout le monde, incluant les dieux grecs du tome #4, est prélude à une conclusion enlevante, accompagnée d'explications judicieuses qui, mises à part mes petits questionnements exprimés plus haut, nous éclairent de manière relativement satisfaisante. Vraiment, chapeau, monsieur Mitric! Cette série, c'est une véritable saga foutrement bien ficelée! ;^)

 

  • l'épisode se déroulant à Montréal! C'est chouette de voir le parc Jean-Drapeau, le pont Jacques-Cartier et les édifices de Molson et de Radio-Canada dans une BD éditée en Europe! Et je suis sûr que mes amis des éditions Lounak ont jubilé de se voir mis en couverture d'un album au tirage aussi élevé! ;^)

 

  • le chouette quotidien de Tessa. C'est probablement l'aspect qui m'a le plus plu de cette série! Malgré ses fonctions de superhéroïne intergalactique, Tessa reste une ado avec une famille et des amis normaux. Les meilleurs épisodes sont ceux où ces deux univers se rencontrent, principalement dans le tome #6! Et puis, voir un couple de parents cool et amoureux comme ceux de Tessa, ça fait chaud au cœur... d'autant plus que leur romance a débuté en Gaspésie!... ;^)

 

  • les nombreux clins d'œil au milieu de la BD. Bien sûr, le tome #6, qui se déroule principalement lors d'un festival de BD, s'y prête bien. On y fait allusion aux éditions Soleil et à M. Boudjelal (aux p.9 et 29) et on y voit, entre autres, Didier Crisse, Keramidas ainsi que Mitric, Louis et Seb, les trois créateurs de la série! ;^) Mais un autre hommage est fait à quelques bédéistes américains: je parle de la note au bas de la p.46 du tome #6, qui mentionne Claremont, Byrne et Austin, créateurs du X-Men #137! Bon, j'avoue ne pas être assez féru en la matière pour comprendre le lien entre eux et ce qui se passe dans l'album à ce moment-là, mais l'hommage semble bien senti! ;^)

 

  • de belles trouvailles de mise en pages. Il y a, bien sûr, l'impressionnante double page du tome #6 (p.46 et 47), mais c'est surtout dans le tome #7 que Louis se surpasse: les demi-portraits qui s'affrontent dans le bas de la p.22, l'intéressant bas de la p.24, en éventail; la p.32, toute éclatée; la vignette en fish eye de la p.43... et la paisible double page finale, en guise d'adieu! Chapeau à vous aussi, monsieur Louis!! ;^)

 

 


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@Anne des Ocreries : Ça l'est, très chère, ça l'est, et probablement très accessible via ta bibliothèque locale!! ;^)
Rédigé par pgluneau le lundi 18 juin 2018 à 17:04


ça me paraît bien alléchant, tout ça.
Rédigé par anne des ocreries le dimanche 10 juin 2018 à 13:32




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