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#01- Anne
#01- ANNE
Scénariste(s) : Benoît FEROUMONT
Dessinateur(s) : Benoît FEROUMONT
Éditions : Dupuis
Collection : X
Série : Royaume
Année : 2008     Nb. pages : 48
Style(s) narratif(s) : Courts récits
Genre(s) : Fantastique médiéval, Conte réinventé, Héros animalier, Humour grivois, Humour fantaisiste
Appréciation : 4 / 6
Un petit royaume tranquille... au parfum de scandale!!
Écrit le samedi 24 mai 2014 par PG Luneau

Tomes lus :

#01 – Anne

#02 – les Deux princesses (2009, Récit complet, Aventure humoristique, 4,5 / 6)

#03 – le Prétendant (2010, Récit complet, Aventure humoristique, 4,5 / 6)

#04 – Voulez-vous m’épouser? (2012, 4 / 6)

Que voilà donc une série que j’avais hâte de lire!! Comment ne pas se sentir interpelé par son petit dessin tout simple, à la ligne claire, et son château gentiment peuplé de plein de personnages princiers et de manants, gravitant dans un petit univers coloré, garni de petits oiseaux jaune serin?!? J’ai donc eu la bonne idée de les acheter pour la bibliothèque de mon école primaire!

Quelle ne fut pas ma surprise en lisant cette note envoyée par la bibliothécaire en chef de la commission scolaire : «Êtes-vous certain de vouloir tenir cette série dans votre collection?» Stupeur!?!?! Une série si gentillette, qui paraît dans le journal de Spirou, qu’est-ce qu’elle peut bien avoir de si inconvenant?!?! La meilleure solution restait de la lire et de juger par moi-même, n’est-il pas vrai?? ;^)

J’ai donc plongé dans ce charmant monde médiéval. Ce faisant, j’ai réalisé qu’il y avait longtemps que le Moyen-âge n’avait pas été exploité en BD jeunesse : il me semble qu’il n’y a pas eu grand chose depuis Johan et Pirlouit!! Mais monsieur Feroumont a débuté sa série en 2008. Les jeunes du XXIe siècle auxquels il s’adresse n’ont plus grand-chose à voir avec ceux qui constituaient le lectorat de Peyo, et monsieur Feroumont se doit d’en tenir compte!! Comment rendre un univers médiéval aux goûts du jour?? Comment y implanter une série résolument moderne?? C’est par la modernité de la langue utilisée et des angles par lesquels les différents personnages affronteront les situations que tout cela passera! Ainsi, si on met la bonniche à la porte du château, dès le premier tome, c’est parce qu’on l’accuse d’avoir couché dans le lit du roi… en sa compagnie!! Et si les mignons petits canaris savent parler, ce n’est que pour colporter ragots, insultes et obscénités!!? Original, anachronique, un brin iconoclaste… Mais par le fait même, un peu dérangeant : voilà pourquoi certaines personnes risquent d’être un peu bousculées, au même titre que ma bibliothécaire de tout à l’heure!

Rassurez-vous : au bout du compte, la série n’est pas si sulfureuse qu’elle veut le laisser croire! Comme souvent, l’auteur a tapé un peu fort sur le clou dans son premier tome, question d’impressionner, de se démarquer, d’imposer son style… mais force est d’avouer qu’il s’assagit (ou se dégonfle?!? ;^) assez rapidement dans les tomes suivants!

Ainsi, à travers les quatre premiers tomes de cette série, on nous présente la famille royale, les employés du château, les principaux habitants du bourg… Et on y assiste à quelques beaux récits d’aventures (kidnapping, demande de rançon, fiançailles de convenance, refus scandaleux, déclaration de guerre…), mais toujours avec la trame sous-jacente des amours de François, le forgeron éperdument épris d’Anne, la bonniche tombée en disgrâce depuis son expulsion du palais, elle-même aucunement intéressée (enfin, presque!) par le bellâtre aux gros muscles mais au cœur en guimauve!! Quand l’entreprenante Candice vient s’en mêler, elle qui désire le forgeron plus que tout, nous voilà en présence d’un triangle amoureux bien compliqué, prétexte à bien des gags… Car l’humour est toujours au rendez-vous de cette petite série sans prétention, qui déboulonne les clichés que l’on connaît des séries moyenâgeuses, offrant d’importants rôles de femmes, avec des caractères bien solides (je pense à Anne, à la reine, à la princesse Cécile, mais aussi à Candice, à la cousine Nathalie ou même à Paulette, l’employée d’Anne, à la taverne!).

Au final, j’ai découvert un univers que j’ai beaucoup apprécié, avec des personnages forts et des intrigues bien ficelées (particulièrement dans le cas des longs récits!). Si, côté dessin, ça penche plus du côté «correct» que du côté «génial», je me dois toutefois de souligner la très nette amélioration entre les tomes #1 et 4 : j’ai donc grande confiance en l’avenir pour ce qui est de ce petit bémol.

Donc, pour un voyage dans un Moyen-âge rendu familier par l’angle d’approche exploité par son créateur, je conseille grandement (malgré l’avis de ma bibliothécaire!) la lecture du Royaume à toute personne… âgée de 11 ans ou plus!

P.S. : À noter que le cinquième tome est sorti récemment! Chic chic chic!

 

Plus grandes forces de cette BD :

 

  • quelques petits éléments de langage qui «contemporanisent» la chose! Une princesse qui s’en va faire du shopping, je n’avais, pour ma part, jamais vu ça!! ;^) Des expressions comme «Pauvre con!», «Bordel!», «Couillon!»… et même de charmants petits «Cool!» ou «O.K.!» totalement anachroniques nous interpellent de belle façon, en faisant appel à notre langage actuel… Non pas que j’utilise personnellement tous ces vocables, bien sûr!! ;^) Certains d’entre eux peuvent en effet paraître offensants, et un peu déplacés dans une BD pour la jeunesse, mais, somme toute, il n’y a pas de quoi fouetter un chat : pour une fois qu’un produit pour la jeunesse n’est pas totalement aseptisé! On n’a qu’à réserver cette série aux plus âgés de nos têtes blondes!!

 

  • plusieurs bons gags bien punchés. J’ai bien apprécié le clin d’œil humoristique à la sublime chanson Ne me quitte pas, de Brel, dans le tome #2 (p.41, en haut)! Et j’ai littéralement adoré le sympathique «Il paraît que ça fait très mal!» (dans le même album, à la p.46), alors que le bon François vient tout juste de recevoir un coup de pieds dans les parties! ;^)… Pour ce qui est des éternels crêpages de chignons entre Anne et Candice, que ce soit avec leurs invectives en «asse» (au début du tome #4) ou quand Anne fait un délirant petit coucou hypocrite à sa rivale (à la p.9.10 de ce même tome) : je les adore! ;^)

 

  • le grand nombre de protagonistes. C’est normal : ça se passe majoritairement dans un château où, déjà, il y a beaucoup de monde… et en plus, on rencontre plusieurs villageois récurrents! Ça nous donne une superbe brochette de personnages très variés, que l’auteur est très habile à rendre intéressants! Et merci pour les super chouettes pages de garde, qui nous les montrent tous en pied! Ça nous fait une bonne référence, en cas de doute! Y ajouter leur nom serait toutefois une bonne idée! ;^)

 

  • les personnages, donc! Ils ont presque tous un petit quelque chose qui fait qu’on les adore!! D’abord, François, délirant de drôlerie avec son obstination à demander Anne en mariage, malgré ses refus constants! Sa naïveté et sa bonhomie sont aussi touchantes que sa ténacité est remarquable! Puis les deux princes jumeaux, idiots à souhait, ou leur cousine, qu’on rencontre au tome #2 : maligne et machiavélique, elle constitue une ennemie de premier choix! Cette furie nous reviendra sûrement dans un tome ultérieur (et on a déjà hâte!! ;^) Il y a aussi Jean-Michel, le mousquetaire frimeur et pleutre à l’extrême… et la «si adorable» reine, aussi imbuvable et manipulatrice qu’hideuse! En tant que personnage principal, Anne s’avère très complexe (Ah! Les femmes!! ;^). Feroumont lui donne un petit côté garce qui, au final, ternit un peu son aura d’héroïne… C’est assez rare qu’un auteur ose prendre ce risque, qui ne fait pourtant que donner plus de chair au personnage!! Le pari, ici, en a valu la peine!! Et quelle belle idée d’avoir fait de Candice la fille du propriétaire de la forge, ce que nous n’apprenons que dans le tome #4!! Ça ajoute un petit côté tordu tout à fait agréable aux relations déjà complexes qui unissent tout ce petit monde!! Même les petits oiseaux, tant facétieux et iconoclastes qu’ils le sont, restent amusants, malgré leur langage parfois inapproprié!

 

  • les longs récits des tomes #2 et 3. Ils m’apparaissent bien plus solides que les recueils de courts récits des tomes #1 et 4 : Feroumont me semble plus à l’aise à raconter des  aventures ayant du souffle que de petits épisodes qui s’enchaînent. Le tome #2, avec son prisonnier mystérieux, l’enlèvement de la princesse et la demande de rançon qui s’ensuit, est de facture classique, mais enlevant et trépidant à souhait. De même, les imbroglios du tome #3, résultant des fiançailles entre jeunes gens ne s’étant jamais vus et de l’effet du philtre de beauté (tiens : une petite touche de fantastique!?!), allant jusqu’à entraîner une bataille (glorieuse : contre des cueilleurs de pommes!?!) sont très amusants. C’est le genre de péripéties que j’attends d’histoires se déroulant au Moyen-âge!

 

  • le style «Peinture d’époque» que monsieur Feroumont a employé à deux reprises dans le tome #3. J’aime beaucoup son caractère plus poli, plus soyeux, lorsqu’il dessine les portraits (embellis!) des jouvenceaux (planche 3 pour le prince d’Arbédie, planche 40 pour la princesse Cécile). Ça donne véritablement un effet de toile de maître très intéressant!

 

  • un mystère qui demeure irrésolu!! On n’a jamais connu l’identité de la mystérieuse femme que le roi visite, la nuit, au début du tome #3!!! Monsieur Feroumont nous reviendra-t-il avec la réponse un jour?? On se le souhaite! ;^)

 

Ce qui m’a le plus agacé :

 

  • le nom de la série. C’est quand même assez banal, non? D’ailleurs, c’est aussi le nom du royaume en question : il s’appelle… «le Royaume»!?!? Son voisin, pour sa part, s’appelle l’Arbédie. Avouez que c’est déjà pas mal plus original! ;^)

 

  • la «pseudo-subversivité» qui introduit la série. Pipi, grossièretés et fesses à l’air pouvaient encore, à la limite, passer... Mais avec les deux «’Tain!» du tome #2, ça devient plus délicat pour les plus jeunes… Et était-il bien nécessaire de donner à Anne cette réputation de coucheuse (avec le roi, en plus!!), pour que la série réussisse à se démarquer?? Ça n’ajoute pas grand-chose au propos, et le fait que tout ça s’assagisse par la suite ajoute à l’impression de simple stunt publicitaire pour faire parler de soi! Tout ce que ça a apporté, à mon sens, ce sont les esclandres de parents pudibonds! Et on a la preuve que (malheureusement, et aussi exagéré que ça puisse paraître, j’en conviens!), ça a fait perdre des ventes dans plusieurs milieux scolaires! Dommage!

 

  • le séquençage du premier tome. Il se veut un ramassis de petits épisodes, comme des chapitres de 7 ou 8 pages (correspondant chacun à une publication dans le magazine Spirou, j’imagine). Ces épisodes, qui se suivent pour former un récit cohérent, ne sont pas tous d’égal intérêt, ce qui est tout à fait normal… Mais c’est surtout leur enchaînement qui m’a un peu déçu, comme s’il ne coulait pas de source : chaque tranche me semble plus ou moins complète, plus ou moins drôle, et le début de la suivante se présente souvent comme une cassure mal raboutée… Heureusement, monsieur Feroumont a su redresser le tir dès le tome #4, alors qu’il reprend cette formule, mais en enfilant cette fois ses courts récits avec une souplesse plus maîtrisée.

 

  • un certain manque de variété dans les choix de plans et de cadrages du premier tome. Les mises en page restent TRÈS classiques, et le créateur aime bien faire usage d’un plan uniforme pour toute une planche, par exemple, comme c’est le cas aux pages 5, 11, 19 ou 29. Ce n’est pas toujours inintéressant (comme pour la scène des pisse-vinaigre, aux pages 24 et 25), mais ça reste un peu monotone. Heureusement, là aussi, ça se replace dès le tome suivant!

 

  • les arrière-plans, beaucoup trop souvent en à-plat unicolore. Ça fait des planches assez vides, aux décors plutôt pauvres, et c’est bien dommage! Gageons toutefois qu’ici encore, Monsieur Feroumont démontrera une évolution rapide et qu’il parviendra à étoffer un peu ses fonds de scène. Avec le temps, il devrait aussi maîtriser de plus en plus ses traits et en venir à nous offrir des protagonistes aux visages de plus en plus constants, des chevaux de mieux en mieux proportionnés. Il en a tout le potentiel, comme le démontrent certaines vignettes : la très jolie fête de la planche finale du tome #2, par exemple, ou le très joli jardin de la planche 5 du tome #3!

 

  • certaines expressions un peu trop argotiques pour le Nord-Américain que je suis. La grande majorité du temps, le contexte faisait en sorte que je parvenais très bien à me faire une idée assez juste du sens… Mais qu’en sera-t-il des jeunes lecteurs? Sauront-ils faire les liens et les inférences nécessaires?? Exploiter cette compétence qu’on cherche tant à leur inculquer? J’ai quelques doutes, surtout avec des expressions comme : «Quelle klèt» (tome #1, p.42, qui devient une «klette» à la planche 46 du tome #21?!), «Mert’» (tome #2, planche 38), «Oh et puis fourt’!» (tome #2, planche 9) ou «Qué n’affaire à Lîtch!» (tome #3, planche 25)!!

 

  • l’absence de pagination à partir du tome #2. La police de caractère utilisée pour celle du premier tome était pourtant très judicieusement choisie, donnant un petit côté gothique à l’ensemble… Mais voilà que les bas de page restent blancs, depuis!! Puisque les planches des deux longs récits sont bien numérotées, on peut toujours s’en tirer à bon compte… mais dès le tome #4, avec ses cinq courts récits, ça se complique : c’est qu’il y a quatre planches #1, quatre planches #2, quatre #3 et #4… sans compter les planches #9.1, 9.2, 9.3, 9.4 et suivante, qui ouvre (?!?) le récit!?? En coûte-t-il si cher, en encre, à écrire les petits numéros de page pour nous embêter à ce point?!?

 

  • de petites erreurs d’inattention. D’abord, une erreur graphique, sur la 7e planche du tome #2. La paille qui traîne dans le corridor, près du soupirail, en face du cachot d’Igor, apparaît puis disparaît de bien étrange façon, entre les vignettes 5, 6 et 8!! Puis, il y a aussi un appendice mal dirigé, à la planche 9.12 du tome 4 (3e vignette).

 

  • le punch un peu usé du prétendant moins beau que son portrait ne le laissait supposer (servant de trame centrale au tome #3). Avec tous les efforts mis en place pour nous cacher le visage du personnage jusqu’à sa présentation officielle à la cour (même sur la couverture!), on le sentait venir à cent lieues!! ;^(

 

  • une erreur de syntaxe ambivalente! Je sais que la tendance est à élider les NE des phrases négatives, question de donner un peu plus d’oralité aux discours des personnages… Monsieur Feroumont voulant faire du contraste «époque ancienne / discours modernes» une des caractéristiques principales de sa série, j’accepte donc son «Vous êtes pas cap’!» (tome #4, planche 3… trouvez laquelle!!) ou son «On se moque pas des clients!» (même tome, sur une des planches 2!)… Mais pour ce qui est du «J’en ai plus!» de la planche 9.3, c’est une autre paire de manches! D’abord, dans ce cas-ci, on entend quand même le son du NE, à cause de la liaison. Donc, le désir de faire «plus oral» n’a plus sa raison d’être! Aussi, le mot PLUS est toujours embêtant : ses sens contradictoires peuvent autant vouloir dire qu’on n’en a plus du tout, qu’on en a encore davantage!! Dans le cas qui nous concerne, l’auteur écrit complètement le contraire de ce qu’il veut signifier… C’est donc un choix (si c’en est un??) tout à fait inapproprié!

 

 

 


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@ Eric the Tiger : Merci, Eric! Bonne découverte, et à bientôt!
Rédigé par PG Luneau le mercredi 04 juin 2014 à 22:27


Ta critique a éveillé ma curiosité. Il faudra que je m'y plonge. Au plaisir de te relire...
Rédigé par Eric the Tiger le dimanche 01 juin 2014 à 0:58


@Belzaran : Cette série s'y trouve, j'en mettrais ma main au feu! Et je crois bien qu'elle te plaira! (P.S.: J'ai bien aimé tes critiques du «Vent dans les saules / sables» : elles m'ont donné envie de relire «...les saules», et d'enfin poursuivre avec «...les sables», que je n'ai pas encore lue!!)
Rédigé par PG Luneau le dimanche 25 mai 2014 à 12:15


@ Anne des Ocreries : Accro comme tu l'es à ton fidèle magazine, je me doutais bien que tu appréciais cette série!! D'ailleurs, je me pose la question : y a-t-il des séries, dans Spirou, que tu apprécies moins que les autres, voire pas du tout?? Je serais curieux de les connaître!
Rédigé par PG Luneau le dimanche 25 mai 2014 à 12:11


Voilà qui pourrait m'intéresser. Faut que je vois si ma bibliothèque l'a (à voir au rayon jeunesse à priori).
Rédigé par Belzaran le dimanche 25 mai 2014 à 4:37


(oui, moi je connais depuis longtemps, s'pas, grâce à mon beau Spirou hebdomadaire !)
Rédigé par anne des ocreries le dimanche 25 mai 2014 à 0:49


MORTELLEMENT RIGOLO !!!!! :)))))))))))
C'est EXCELLENT !
Rédigé par anne des ocreries le dimanche 25 mai 2014 à 0:46




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