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Mon 5e safari-dédicaces - Pour une récolte à l'image du site : plus aérée!
Écrit le samedi 06 octobre 2012 par PG Luneau

Voici maintenant les fruits de mon 5e safari, celui pour lequel je m’étais si âprement préparé en lisant ou relisant, en rafales, plusieurs albums, dont les premiers Simon Nian, les premiers Druides et un Double M. Il est d’ailleurs grand temps que je termine cette narration (entamée dans ma chronique précédente), puisqu’on s’éloigne de plus en plus dangereusement de cette merveilleuse date du 15 septembre 2012, celle où j’ai assisté à mon deuxième ComicCon, à Montréal!!


À tout seigneur, tout honneur : j’ai commencé ET terminé ma journée auprès de Jacques Lamontagne, le dessinateur de la série les Druides, justement. En effet, il était le seul bédéiste fidèle au poste à l’ouverture, à 10h! Quelle ne fut pas ma surprise en l’entendant m’accueillir d’un gentil «Oh! En passant : Bonne fête!»!!? C’est fou ce que Facebook peut changer dans une vie!!


Tout au long de ces deux dédicaces (deux superbes aquarelles dans mes Druides #3 et 4 : la première, en matinée, avec l’inquiétant frère Gwénolé, puis l’autre, vers 17h30, avec le plus réservé frère Budog), j’ai bien évidemment discuté avec monsieur Lamontagne. Il m’a confirmé que, maintenant que le tome #7 des Druides venait d’être bouclé (la couverture, aperçue depuis sur le Net, en est superbe!!), il s’amuse à concevoir toute une gamme de personnages de foire… littéralement!! En effet, Flora et Hugo, les deux protagonistes de son autre série, Aspic, détectives de l’étrange, auront maille à partir, dans leur deuxième aventure, avec un cirque peuplé de gens difformes ou exceptionnels. Ses croquis, généreusement exposés devant nous, nous laissent voir une femme à barbe, un homme-loup (au visage entièrement recouvert d’une surabondante pilosité), des jumeaux siamois, un homme fort (chauve et moustachu, comme il se doit!)… et une femme hippopotamesquement adipeuse! «L’ambiance rappellera beaucoup la télésérie Carnivale, pour ceux qui la connaisse!», a précisé le dessinateur, qui est très heureux de retrouver ces personnages que son complice français, le scénariste Thierry Gloris, anime avec fougue. Mais Lamontagne a quand même son mot à dire : «Thierry aurait voulu faire disparaître Dupin, le maître chez qui Flora a été en stage! Je n’étais pas vraiment d’accord, et j’ai fait réaliser à Thierry que la relation entre Flora et son ancien maître est d’une importance capitale dans le développement de la carrière de cette «enquêteure», dans sa réalisation personnelle! Elle, sans lui, serait incomplète!». Ce que je n’ai pu, tout comme Gloris, qu’entériner!


À la question : «Comment faites-vous pour produire autant de tomes de qualité en si peu de temps?», posée par le chasseur de dédicaces qui me précédait dans la file, Lamontagne a avoué être assez débordé : c’est qu’en plus de ses deux séries-phares (les Druides et Aspic), le talentueux dessinateur scénarise deux autres séries : Yuuna et Heaven, pour deux de ses confrères dessinateurs (Ma Yi et le Québécois KanJ). Par contre, il nous a aussi avoué avoir trouvé une façon de gagner du temps : «Je fais maintenant affaire avec un coloriste! Ça n’a pas été évident de trouver quelqu’un qui satisfasse mes exigences, mais j’ai enfin pu mettre la main sur un jeune Brésilien qui fait un travail splendide!» Grâce à cette précieuse ressource (dont nous connaîtrons le nom sous peu, j’imagine!?), monsieur Lamontagne peut maintenant plus se concentrer sur ses scénarii et ses dessins… mais ne nous le cachons pas non plus : le bougre a un côté work-a-holic assez relevé, manifestement! Et je n’ai pas l’impression que c’est sa charmante épouse, que j’ai rencontrée en fin de journée, qui me contredirait!


Mais ma mauvaise habitude à toujours chercher à écornifler les conversations des autres m’a joué un tour, cette fois!! En effet, j’ai par la suite malencontreusement entendu certaines révélations sur la finale du premier cycle de la série les Druides! Ainsi, j’ai cru entendre le nom du responsable de tous ces massacres de moines… Heureusement, je ne suis pas certain de ce que j’ai entendu… mais je ne peux m’en prendre qu’à moi : je n’avais qu’à ne pas laisser traîner mon grand nez et mes grandes oreilles là où ils n’avaient pas d’affaire… Et, heureusement pour vous, je saurai ici faire taire ma grande langue : je ne vous dirai pas que le coupable est nul autre que…


Non, je ne vous le dirai pas, car je dois passer à ma rencontre avec Yves Rodier! Le pauvre était grippé comme ce n’est pas permis, et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle il est arrivé en retard! Mais, fidèle à lui-même, il a été d’une extrême générosité! Nous avons commencé par revenir sur une discussion que nous avions eue sur Facebook, suite à sa lecture de ma critique du tome #2 de sa série Simon Nian. Il m’a confirmé que le très amusant personnage de Bertrand Malgré, qui m’a tant fait rire lors de ma lecture, est basé sur un réel galeriste parisien, collectionneur passionné de BD mais tout aussi chuintant et hoquetant que celui de l’album!! Il n’en fallait pas plus pour que ce soit le personnage que je lui demande de me dessiner dans mon tome #3, qui se voit donc, maintenant, gratifié de la sympathique bouille de ce personnage aux grandes dents de lapin!! Pendant qu’il dessinait, je lui ai demandé si Simon Nian allait vivre d’autres aventures. Il m’a expliqué que lui aurait été prêt à faire voyager ce héros, à lui faire vivre des aventures de par le monde… mais que les éditeurs ont jugé qu’un avocat ne pouvait pas quitter son cabinet de cette façon! Pourtant, déjà après le tome #2, Rodier avait l’impression d’avoir fait le tour de cet hommage à Tillieux! Il a donc accepté, de bonne grâce, de faire le tome #3… mais non sans annoncer que ça allait être son dernier! Complète en trois tomes, donc, la série Simon Nian!


Rodier et la couverture de son comic, déjà introuvable


Ensuite, nous avons parlé de son El Spectro, que je n’ai malheureusement pas encore lu. Fred Antoine (le scénariste) et lui ont eu la bonne idée afin de créer un buzz publicitaire autour de la parution à venir du tome #2 de cette série : ils en ont publié la première moitié, mais sous forme de comic book à l’ancienne!! Petit format, papier glacé, noir et blanc, couverture souple et très colorée! Il m’avait raconté ce beau projet lors du dernier (et premier!) Salon de la BD de Montréal et je me demandais depuis si j’allais me laisser tenter… Hé bien je n’ai pas eu à me questionner longtemps : les quelques exemplaires qu’ils avaient fait imprimer se sont envolés comme des petits pains chauds, presque tous lors du lancement!! Donc, plus aucun de ce petit bijou de collection n’était disponible au ComicCon!! Je me vengerai bien en achetant un des premiers exemplaires du tome complet, à sa sortie, au printemps prochain! ;^)


Puis, je me suis retrouvé à la table de Michel Rabagliati, pour me faire dédicacer un autre de mes «vieux» Paul, celui où il emménage «en appartement». C’est là que j’ai discuté avec Hervé (ce prof de 6e année de Montréal dont je vous parlais dans la première partie de cette chronique). En compagnie d’un autre homme et de son fils de douze ans, nous avons soulevé le fait que cette série toute simple, sans prétention, ratisse très large sur le plan de son public-cible! En effet, si on comprend aisément que les gens plus âgés (qui y reconnaissent sans doute des pans de leur vie) et les adultes, jeunes ou vieux, prennent plaisir à lire ces romans graphiques… on constate plutôt avec étonnement que plusieurs jeunes adolescents les adorent tout autant!! Est-ce dû à la légèreté du graphisme? Aux anecdotes toutes simples? Au fait que ça raconte la vie que leurs parents ont vécue? Sûrement un peu de tout ça, mais aussi parce que tout ce que l’on voit à travers les yeux de Paul a un petit quelque chose d’universel… et donc d’intemporel : le quotidien, l’amour, la mort, le boulot, le premier appart… On passe tous par là, à un moment ou un autre! C’est sûrement ce qui fait de Paul une série pour les 6 à 106 ans!! ;^)


J’ai demandé à monsieur Rabagliati, nouvellement barbu (d’ailleurs, j’ai eu droit, pour ma dédicace, à un Paul barbu, lui aussi : personnage-miroir oblige?? ;^) ), si la scénarisation de son album Paul à Québec en vue d’en faire un film allait bon train. Il m’a répété, tout emballé, que ça avançait bien, mais qu’il trouvait bien difficile de couper, couper et encore couper! Sans que ce soit les mots exacts, voici l’essence de ce qu’il m’a raconté à ce sujet : «On est bien, comme dessinateur, quand on travaille chez-nous : on a le total contrôle de notre crayon! Si on a envie de faire apparaître une foule de manifestants, on la dessine, puis ça finit là. Mais en cinéma, on doit penser à la complexité et à la faisabilité de ces scènes. De plus, pour ne pas que le film dure trois ou quatre heures, on doit couper tout ce qui ne fait pas avancer l’histoire! Moi, j’aime bien quand mes récits prennent des détours, juste pour ajouter à l’ambiance… mais en travaillant en équipe, dans le cadre d’un scénario de film, je dois faire mon deuil de toutes ces fioritures-là, compromis oblige!!»

Quant au prochain album de Paul, celui en préparation, qui portera sur l’adolescence du sympathique personnage, Michel ne m’en a rien dit, sinon qu’il sera de format king size, plus du genre Paul au parc que du genre Paul à la campagne! Trois fois youpi : on n’en aura que plus à aimer!!


Finalement, j’avais très hâte à ma rencontre avec Félix Meynet, le seul bédéiste européen qui m’intéressait parmi les quelques rares à s’être déplacés pour l’occasion, mais je m’étais fixé des attentes un peu utopiste. En effet, j’avais espéré pouvoir lui demander plus qu’une dédicace, compte-tenu que nous n’avons pas la chance de le voir très souvent de ce côté-ci de l’Atlantique! J’avais donc (utopiquement!) rêvé qu’il me dédicace deux de mes Double M – un avec une Mirabelle, et l’autre avec un Melchior – ET deux mes Éternels – un avec Mehdi et l’autre avec Jaï. Seulement, ça ne s’est vraiment pas passé comme je l’espérais!!


D’abord, je me suis mis en ligne une heure avant son arrivée… et j’étais déjà le deuxième! Puis, une espèce d’hurluberlu (quel beau mot!! Pour une fois que je peux l’utiliser dans un contexte tout à fait de circonstance!!), un touriste français complètement hystérique (excusez le pléonasme!! ;^) ), est venu nous demander s’il pouvait passer devant nous «parce que je dois sauter dans le car qui nous mènera à l’aéroport à 16h15!!» Je n’ai jamais, mais JAMAIS vu un tel verbomoteur!! Certains trouvent que je parle trop, et trop vite… mais je suis un escargot en comparaison de cet ouragan de nervosité originaire de Haute Savoie!! Comme on a fini par accepter, il n’a pas arrêté de nous remercier, de nous louanger et de nous déblatérer des banalités pendant trente minutes, tout en faisant de nombreux va-et-vient jusqu’à un kiosque très éloigné… question de téter monsieur Meynet (qui s’y trouvait déjà, apparemment) et de le pousser à devancer sa séance le plus possible. Ainsi, grâce à ce méchant spécimen, Meynet est arrivé à 15h30 au lieu de 16h… mais il a passé cette demi-heure à dédicacer les quatre (!!?!) volumes du Savoyard «pour des amis qui n’en reviendront pas que j’aie pu vous rencontrer ici!!»


Avec le recul, je nous trouve bien idiots d’avoir accepté! Après tout, ce Français a des dizaines et des dizaines d’occasions de le croiser, Meynet, dans les Europes, avec tous les salons du livre et de la BD qu’ils ont!! Nous, il ne vient qu’une fois par dix ans (et encore!)… et on laisse passer un Européen devant nous?!?! D’autant plus que le verbo n’arrêtait pas de le dire lui-même : «On n’habite pas très loin l’un de l’autre, monsieur Meynet et moi!!» Si ça avait été un bédéiste québécois, je ne dis pas, mais pour un artiste européen, à bien y penser, je crois que je refuserai, la prochaine fois, aussi cruel que ça puisse paraître… D’ailleurs, l’organisateur, qui est aussi le propriétaire de la bouquinerie Débédé, où je vais très souvent, sur Saint-Denis, était très en colère quand il a réalisé l’entourloupe!!


Ça a d’ailleurs fait en sorte que le contexte n’était plus à la «générosité et à l’abondance»! «Une dédicace par personne, la règle est très claire!» J’ai donc dû me restreindre… et j’ai opté pour un dessin de Mehdi, dans mon Éternels #3. J’ai toutefois profité de ma rencontre pour parler un peu de Double M avec monsieur Meynet, et savoir si on pouvait espérer de nouveaux tomes de cette mignonne petite série que j’aime tant. Ça m’a permis d’apprendre quelque chose de très curieux : s’il n’y a pas eu de nouveau tome depuis plusieurs années, c’est parce que le scénariste, Pascal Roman, a tout simplement… disparu, suite à un enchaînement de problèmes personnels!! Meynet n’a pas eu de ses nouvelles depuis très longtemps, et leur éditeur non plus!! Monsieur Meynet serait quant à lui très intéressé à reprendre la série, même seul : il a deux ou trois idées de scénarii assez étoffés… Seulement, en parfait gentleman, il aimerait bien avoir le O.K. de son ancien partenaire! Ainsi, monsieur Roman, si vous lisez ceci, ça serait bien d’envoyer un petit courriel à votre ancien complice, Félix Meynet, afin de lui donner votre absolution!! ;^)


Sinon, le reste de mon safari a été beaucoup plus tranquille… timidité aidant (ou plutôt «nuisant», dans ce cas-ci!!). Je me suis enfin décidé à faire dédicacer un de mes Michel Risque. Messieurs Réal Godbout, l’illustrateur, et Pierre Fournier, le scénariste, étaient aux trois derniers salons que j’ai visités, mais je n’avais jamais pris le temps d’aller les rencontrer. Ce n’est qu’en ce jour d’anniversaire que j’ai enfin osé foncer… mais j’étais tellement intimidé que je n’ai absolument rien dit, sauf à la toute dernière seconde, quand je les ai remerciés d’avoir fait rééditer ces récits qui ont, somme toute, bien marqué mes années cégep et université!!


Rabagliati, Godbout, Fournier et Lapierre


Avec monsieur Frank Cho, l’Américain qui dessine la désopilante série Liberty Meadows (traduit par Psycho Park, en français – mais seuls 6 tomes ont été traduits, malheureusement!!), c’est principalement la piètre qualité de mon anglais qui m’a bloqué. Je lui ai quand même dit que sa série était une des seules que je lisais en anglais… mais il a dû me trouver étrange, puisqu’en même temps que je lui disais ça, je lui présentais un de mes tomes en français!! J’avais cru comprendre qu’il ne faisait que signer, en rajoutant quelquefois un tout petit dessin sympathique : ce fut le cas! Il m’a gribouillé (mais je crois que c’était le même pour tout le monde!) un petit Dean, son abject cochon, macho toutes catégories, avec un mini-phylactère où il dit : «I love gros nichons!»!!!! On voit que monsieur Cho a fait d’intéressantes recherches lexicales avant de venir signer en territoire francophone!! J’ai trouvé ça très rigolo, d’autant plus que ça représente vraiment bien le personnage… et je parle ici de Dean, et non de monsieur Cho, que je ne connais pas si intimement!! ;^) Au moins, cet auteur américain ne m’a pas demandé d’argent pour le petit dessin en question, contrairement à tous ses congénères (voir la 1re partie de cette chronique pour plus de détails!!)


Finalement, puisque j’ai récemment reçu par la poste le dernier tome de la série Asymptote (et oui, sans que je l’aie demandé et sans que je m’y attende, les 400 coups m’ont posté cette nouveauté!! Tant mieux : moi qui pensais que ma collaboration avec eux était chose du passé!!), j’en ai profité pour le faire dédicacer par son auteur, Simon Banville. Asymptote, vous le connaissez peut-être : c’est un genre de grande perruche qui sévit dans d’amusants strips qu’on retrouve dans plusieurs journaux. Ils paraissent même dans la revue les Débrouillards, depuis quelques mois! Ces gags, souvent à saveur sociale, m’ont toujours semblé assez solides, j’ai donc très hâte d’explorer cet univers plus à fond. Monsieur Banville a paru content de me rencontrer, et je crois qu’il a bien hâte de lire ce que j’aurai pensé de son album. C’est pourquoi il s’agira sans contredit d’un des prochains titres que je critiquerai dans ces pages… si je peux trouver un peu de ce précieux temps qui nous fait tant défaut, à tous!!


À plus, donc : il faut que je retourne à mes lectures si je veux un jour garnir ces pages de nouvelles critiques!! ;^)


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@ Arsenul: Cette histoire de Français qui veut «passer en avant des autres parce qu'il est pressé», j'en avais aussi vécu une similaire lors du dernier FBDFQ! J'imagine qu'ils se sont passés le mot qu'on est bonnes poires et qu'ils peuvent nous berner facilement!! ;^)
Si je t'ai donné le goût (et l'énergie, car ce n'est quand même pas à la porte de chez-toi non plus!!) d'aller dans un salon du livre, j'en suis fort aise... et doublement si tu y inities tes plus vieux!! À plus!
Rédigé par PG Luneau le vendredi 12 octobre 2012 à 16:04


Splendide! j'aime aller dans les salons autant pour les dédicaces que pour ces petites infos incroyables qui font d'un simple connaisseur de BD et excellent connaisseur de BD. En plus tu nous ajoutes une photo de Michel avec sa barbe. Paul en Appartement est un de mes préférées.
Drôle d'histoire avec ce français qui exagère, j'Ai déjà eu ça avec Boulet. Un geek pas possible qui lui répétait des strip de Boulet.
Bref, un bon billet, très complet, sans blague, chacun des paragraphes dit tout.
Tu me donnes le goût de me taper une salon. Rimouski s'en vient, j'initierai peut-être mes enfants.
Rédigé par Arsenul le mercredi 10 octobre 2012 à 20:54


@ Anne des Ocreries : La poutine! Voilà l'explication! Je n'y avais pas songé! ;^) Merci de cette judicieuse précision, chère Anne : elle jette sur les étranges comportements de ce Speedy Gonzalez de Haute Savoie un éclairage nouveau qui me pousse, presque, à le trouver pitoyable...
Mais ne t'en fais pas : pour les prochains, je suivrai ton conseil!! :^)
Rédigé par PG Luneau le dimanche 07 octobre 2012 à 11:03


Tout les Français, hélas, ne sont pas des gentlemen....et celui-là m'a fait rougie de mes compatriotes ! faudrait qu'il arrête la coke.....ou alors, c'est la poutine qui l'a déréglé ; faut une adaptation métabolique, pour un européen. ;-)

Le prochain du même genre, donne-lui les dates d'Angoulême et vire-le à la queue !
Rédigé par anne des ocreries le dimanche 07 octobre 2012 à 2:40




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